Loisirs

Le cerf-volant

Oiseau de feu sublime aux ailes colorées

Tu t’envoles si haut que j’aimerais te suivre.

Poursuivant les nuages tu frémis dans le vent

Laissant dans ton sillage de belles arabesques.

Épris de liberté tu voudrais survoler

La mer et les forêts mais ton fil te retient.

Tu voyages en dansant sur un rythme effréné

Sous les yeux éblouis de tes admirateurs,

Et permets aux rêveurs de se laisser bercer

Par ton jeu si vivant créateur de bonheur.

Imprimons ces images des baladins célestes

Qui animent l'azur d’un merveilleux spectacle.

Voir le dessin relié à ce texte sous l'onglet https://www.cestatontourdecrire.com/photos et dessins/créations

Marie-France Lefebvre - Anciennement directrice d'un jardin d'enfants - Boulogne Billancourt - France - Texte reçu le 05 janvier 2023

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Tennis (Tennis provient du français «tenez» )

Lors de mes études au collège, 1950-1954, de 13 ans à 17 ans, j’ai eu le plaisir de jouer au tennis régulièrement. Avec ma première raquette, celle que mon frère m'avait donnée, pas mal usée, mais qui m’a permis de tomber en amour avec ce sport.

Je n’ai pu jouer de nouveau qu’en 1963, lorsque les propriétaires du chalet que nous louions à Notre-Dame-des-Laurentides, ont construit un terrain de tennis aux dimensions conventionnelles. J’y jouais presque toutes les fins de semaine. Un des fils des propriétaires me battait continuellement mais oh que c’était plaisant !!

J’allais régulièrement aux tournois des joueurs professionnels qui performaient au club de tennis de Québec. Ken Rosewall, John David Newcombe et combien d’autres de ces professionnels, étaient de véritables athlètes.

C’est pourquoi avec mon deuxième compagnon, lui aussi aimant le tennis, et très bon joueur, nous allions souvent aux terrains de tennis des collèges de la ville de Québec, les fins de semaine, et c’était alors gratuit.

J’ai beaucoup joué sur le terrain de tennis au chalet de Lambton; il était bien éclairé le soir presquchacune de nos visites à ce merveilleux endroit sur le bord d’un lac tranquille.

À Sorel-Tracy, où j'ai emménagé à ma retraite, mon compagnon et moi, allions souvent jouer au tennis sur des terrains où là aussi, c'était gratuit.

Tout ça pour dire que je suis de près l’évolution des joueurs d’aujourd’hui, surtout nos québécois et canadiens qui font très belle figure aux tournois internationaux, incluant bien sûr ceux de Montréal et de Toronto.

J’admire ces athlètes, brillants, talentueux, la plupart beaux à voir évoluer. Beau spectacle.

Je ne me fatigue pas de les voir en pleines actions.

Malheureusement, je n’ai plus la capacité de jouer à nouveau: l’âge, la santé.


Gilles Capistran - autodidacte - Longueuil - Québec - le 1 novembre 2022

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